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Elguijaronegro
26 avril 2006

Mémoires d'une geisha (1)

Une gueisha n'est ni une courtisanne, ni une épouse, c'est une artiste,

nous vendons nos talents pas notre corps.

Nous créons une autre monde, secret, entièrement consacré à la beauté.

Le mot lui-même geisha signifie: ARTISTE.

Etre geisha, c'est être appréciée comme une oeuvre d'art vivante!

galerie photos (49 photos)

On ne devient pas geisha par vocation, pour se réaliser, pour s'épanouir,

si on devient geisha, c'est qu'on n'a pas le choix!

Synopsis
Quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, Chiyo, une petite fille japonaise, est arrachée à sa famille pauvre pour aller travailler comme servante dans une maison de geishas.
En grandissant, elle se plie avec docilité à l'initiation difficile qui fera d'elle une vraie geisha. Elle triomphe des pièges que lui tend sa rivale, la fourbe Hatsumomo et devient, après des années de travail, la légendaire geisha Sayuri.
Très belle, épanouie dans son art, Sayuri fascine les hommes les plus puissants. Mais celle qui n'a plus le droit d'aimer reste hantée par l'amour qu'elle porte, en secret, au seul homme qu'elle ne peut atteindre

Réalisation
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Réalisateur Rob Marshall

Acteur(s)
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Sayuri Zhang Ziyi
Hatsumomo Gong Li
Mameha Michelle Yeoh
le président Ken Watanabe
Nobu Koji Yakusho
O-Kami Kaori Momoi
O-Kabo Youki Kudoh
le général Kenneth Tsang
Lieutenant Hutchins Paul Adelstein
un soldat Brannon Bates
le chauffeur Michael Chen
la tante Tsai Chin
le GI saoul Chad Cleven
le pêcheur japonais Craig H. Davidson
l'officier saoul Cameron Duncan
Chiyo Suzuka Ohgo
O-Kabo enfant Zoe Weizenbaum

Scénario, production
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Scénariste Robin Swicord
Doug Wright
Productrice Amy Pascal
D'après l'oeuvre de Arthur Golden
Production Columbia Pictures, U.S.A.
Red Wagon Entertainment, U.S.A.
DreamWorks SKG, U.S.A.
Spyglass Entertainment, U.S.A.
Amblin Entertainment, U.S.A.

Equipe Technique
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Compositeur John Williams
Directeur de la photographie Dion Beebe
Costumière Colleen Atwood
Directeur artistique Gretchen Rau
Monteur Pietro Scalia
Chef décorateur John Myhre
Producteur exécutif Gary Barber
Roger Birnbaum
Bobby Cohen
Mixage Kevin O'Connell
Greg P. Russell
Rick Kline
John Pritchett
Monteur son Wylie Stateman

Distribution
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Distribution Columbia Pictures, U.S.A.
Mars Distribution, France

Adapté d'un best-seller d'Arthur Golden 
Projet de longue date, Mémoires d'une geisha est l'adaptation du best-seller homonyme d'Arthur Golden. C'est Steven Spielberg qui acquit en 1998 les droits du roman pour le transposer à l'écran.

La valse des réalisateurs 
Le projet est passé entre les mains de Steven Spielberg, qui avait acquis les droits du roman, Brett Ratner, Spike Jonze et Kimberly Peirce avant de voir le jour sous la direction de Rob Marshall. 

Musique composée par John Williams 
John Williams qui avait composé la bande son des trois premiers volets d'Harry Potter a refusé de faire Harry Potter et la coupe de feu pour se consacrer à la musique de Mémoires d'une geisha pour laquelle il a reçu un Golden Globe. 

La légende de la geisha 
Les geishas existent depuis plusieurs siècles au Japon. Leur nom vient du mot "gei" qui signifie "art" en japonais. Ni épouses ni prostitués, ces femmes hautement respectées dans la société gagnaient leur vie en divertissant des hommes puissants par leur beauté, leur élégance et leurs dons artistiques. Les hommes étaient prêts à payer cher pour devenir leur "danna", leur maître. A la fois danseuses, chanteuses et musiciennes, les geisha maîtrisent l'art de la conversation et se rendent dans les soirées données dans les maisons de thé. Elles existent encore aujourd'hui mais dans une proportion beaucoup plus faible. 

Maîtriser l'art de la geisha en six semaines 
Les geishas avaient une manière très élégante de se tenir et de se comporter qu'elles apprenaient dès leur plus jeune âge. Elles maîtrisaient à la perfection la danse et la pratique d'un instrument à trois cordes, le shamishen. Afin d'aider les actrices à acquérir ces pratiques, le réalisateur Rob Marshall a mis en place six semaines de formation intensive à Los Angeles avec une équipe d'experts. Durant leur apprentissage, les actrices ont dû s'habituer à porter un kimono, pris des cours de danse et de musique. Pour les encadrer, Rob Marshall a fait appel à Liza Dalby, la seule occidentale à avoir vécu et travaillé comme geisha au Japon, qui avait collaboré avec Arthur Golden pour l'écriture de son roman. 

La confection des kimonos 
Le kimono est le costume traditionnel de la geisha. Colleen Atwood , la costumière a confectionné à la main 250 kimonos pour les besoins de Mémoires d'une geisha. 

Un sumo devenu présentateur 
Le sumo qui a remporte le combat dans Mémoires d'une geisha n'est autre que le professionnel Mainoumi, qui avait atteint le grade de Champion junior. Il s'est retité des championnats en novembre 1999 et est actuellement présentateur pour la chaîne NHK. 

Des pousse-pousses recyclés 
Les pousse-pousses de Mémoires d'une geisha avaient déjà été utilisés dans Le Dernier samouraï d'Edward Zwick (2003).
Une décoration a été ajoutée pour qu'ils ressemblent à la période des années 30. 

Un maquillage traditionnel 
Noriko Watanabe a respecté le maquillage traditionnel des geishas, avec la peau pâle, les cheveux noirs et et la bouche rouge. Le fond de teint blanc, porté par les geishas lors des grandes occasions et par les Maiko (apprentie geisha) lors des sorties en public était appliqué sur le visage, le cou, le haut du dos et les mains. Une équipe de 65 techniciens a été formée pour reproduire le maquillage de l'époque. 

Lieux de tournage 
Constatant que le quartier de Gion, à Kyoto, où est censée se dérouler l'action du roman dans les années 20 et 30, était trop moderne, la production a décidé de le reconstituer comme il était à l'époque sur le site de Ventura, près de Los Angeles. Une partie du tournage eut également lieu dans les jardins japonais de Saratoga, en Californie. Le tournage s'est poursuivi au Japon pour y filmer des lieux authentiques. 

Critiques presse

Le Figaroscope - Emmanuèle Frois Barème AlloCiné* : 

On se laisse (...) emporter par ce récit fleuve et mélodramatique, par cette rêverie sentimentale aux belles images.

Elle - Florence Ben Sadoun Barème AlloCiné* : 

On se laisse cueillir par les fleurs des cerisiers, le noir d'encre et le blanc neige et, surtout, par la majesté des drapés des kimonos qui ont un rôle à part entière.

Paris Match - Alain Spira Barème AlloCiné* : 

Difficile de résister aux charmes des actrices, à la beauté des costumes et des décors. Malheureusement, Rob Marshall met sa mise en scène classique et sans surprise au service d'un scénario conventionnel.

Ouest France - La rédaction Barème AlloCiné* : 

Il faut (...) ne pas être trop regardant sur ces " japoniaiseries " de pacotille et de convention pour plutôt s'attarder sur le sens du spectacle affiché par Rob Marshall.

Télérama - Aurélien Ferenczi Barème AlloCiné* : 

Ne cherchez (...) pas dans "Mémoires d'une geisha" la vérité ethnologique du Japon d'antan. Mais le tour de main légendaire d'une industrie encore portée sur le pur romanesque. Ce n'est déjà pas si mal.

Critiques public:

alive3-
Ce film est une pure merveille! Il est très respectueux de l'univers du livre de Golden. Dès les premières minutes du film, on bascule dans l'univers mystérieux qu'est celui des geishas. L'ambiance générale du film, les décors, les divers personnages et surtout les merveilleux kimonos. Autant de détails qui nous invitent à partager, à découvrir un des plus grands mystères de l'Orient.

xlmarco - 
Un petit bijou d'orfèvrerie...très bonne adaptation du roman, un film tout en finesse ,quasi intimiste sur ces femmes"objet d'art". Une atmosphére accentuée par une image de très grande qualité & une musique parfaitement adaptée. Un film d'une fluidité étonnante malgrès sa durée (2h20),mené par de très,très bons acteurs,sans oublier un excellent réalisateur... Pour les véritables cinéphiles: A VOIR !

kanell - 
ce film m" a totalement emportée dans ce monde cruel parfois, magique à d autres moments. Je viens de vivre un cancer et je n'avais que très peu d'émotions depuis le début de mon traitement . Hier ce fut une révélation, fabuleux sur tous les aspects, images, dialogues, esthétique. J'avais lu le livre d'arthur Golden avant la maladie, j'avais l'impression de voir ce film pour une seconde fois à certains moments. Mais quelle surprise!!! je retournerai le voir en VO.Maintenant je vais pouvoir lire les critiques sans m être fait influencer.Bravooooooooooooooooooooooo

pepounette -
un film réèllment fantastique, outre lambiance et les costumes tout simplement grandiose, les acteurs jouent réèllment très bien donnant le ton juste et l'émotion qui se doit!De plus on redécouvre les geishas autrement, ce ne sont plus simplement des femmes de compagnies, mais ce sont de véritables femmes qui se battent pour leur survie..A voir absolument

HeatShock -
Somptueux, les souffrances d'une jeune orpheline arrachée à ses parents constituent le prélude de la vie de Sayuri, la plus célèbre Geisha d'Osaka. L'interprétation de Zhang Ziyi est magistrale, n'oublions pas de saluer les performances d'acteurs(-trices) de Michelle Yeoh et Ken Watanabe. Une oeuvre sculpturale.

Dexter2050 -
Tout simplement MAGNIFIQUE ! Que dire de plus sur ce film ? Les actrices sont superbes (je suis toujours aussi amoureux de Zhang Ziyi) et d'une grande qualité artistique. Le global des acteurs (1ers et 2nd rôle) est excellent, il faut tout de même remarqué qu'aucun des personnages de deuxième ou troisième plan n'est vraiment mal joué ou bâclé, contrairement à beaucoup de film ces derniers temps où l'on dépense tout le budget pour le 1er rôle et où on économise sur le reste ! Mémoire d'une geisha est un de ces films qui vous transcende et vous fait voyager à travers le temps et les cultures. Un de ces films qui vous ébloui tant par son esthétisme que par l'intensité des sentiments qui en ressortent. En bref, du bonheur à l'état pur qui vaut -"largement"- ses 8€ pour être vu ne serait ce qu'une fois sur grand écran !!!

dragounet -
Il est rare de voir un film qui ne contient pas de sexe, pas de violence plus que mesure et qui peut être si interessant. J'ai été abasourdi par la beauté de ce film, pourtant je suis un grand fan de film d'action et d'aventure... Je mettrais 4 étoiles parce qu'il le vaut et que si je pouvais j'en mettrais même 5. Ce film fera parti des meilleurs que j'ai plus voir... Chapeau l'artiste et merci à l'actrice principal pour ça beauté incontestable !! 

kreswt -
Le film nous offre une esthétique rarement vu au cinéma!A la fois émouvant et prenant ,le film dresse un portrait d'une geisha magnifiquement interprétée (même si zahng ziyi est chinoise alors que les "vraies geishas" sont nippones,ce qui d'ailleurs a déplu les japonais)!les seconds-rôles sont excellents!!Les décors somptueux ainsi que les actrices envoûtantes nous font rêver pendant 2h20!!Dommage que le film possède des côtés hollywoodiens parfois(lors des ralentis)et une fin moins prenante -mais émouvante quand même-par rapport au livre(qui est très bien écrit ,d'ailleurs)

SeverusRogue -
Un très beau conte avec une très belle histoire d'amour . Comment peut on résister au charme de Zhang Ziyi et ses yeux de saphir , ces geishas et leur talent de toute beauté, ces décors somptueux, cette musique enivrante qui nous emporte au pays du soleil levant. Comme d'habitude John Williams nous concocte ces thèmes merveilleux qui demeurent longtemps gravés dans nos mémoires (mention spéciale à Becoming a Geisha et à The Chairman's Waltz) . La mise en scène est magnifique; je comprends à présent le choix des oscars pour la photographie qui est d'une esthétique irréprochable, pour les décors qui sont d'une rare sublimité avec toutes ces couleurs et ces paysages magnifiques et pour les costumes qui sont tout simplement impeccables . J'ai vraiment adoré !! De très bons acteurs tels que Ken Watanabe que je découvre peu à peu après Batman Begins, Michelle Yeoh trés charismatique, et Gong Li qui joue impeccablement la peste. J'ajouterai aussi que j'ai beaucoup aimé le jeu de l'actrice qui joue la petite Chiyo qui deviendra la légende Sayuri et des chinoises jouant des japonaises ça passe quasi inaperçu. Bravo à Rob Marshall qui signe un nouveau chef d'œuvre après Chicago . Ce film m'a vraiment emporté en Orient j'avais vraiment l'impression d'y être. C'est très beau!!! Une œuvre d'art!!!

tropmortel -
Un trio d'actrices merveilleuses, évoluant dans des décors somptueux, une histoire imprégnée d'une profonde sensualité... Tout cette magnificence fait heureusement oublier une mise en scène très timide, voire un tantinet platouille. Est-ce l'étroitesse des studios californiens qui donne l'impression que dans cette soigneuse reconstitution la caméra est toujours bloquée dans ses déplacements, le dos au mur, incapable d'effectuer un mouvement ample ou même de panoter un chouia ? (laisserons-nous suggérer qu'il s'agit d'une référence à Ozu ?...) Aussi surprenant que cela paraisse, ce film qui aurait pu être un monument d'artificialité orientaliste se montre pourtant très fidèle à l'esprit de cruauté admirable du Japon impérial, même si ces icônes de la féminité absolue, justement décrites comme des «œuvres d'art vivantes», sont incarnées par trois des plus célèbres actrices... chinoises, dont la physionomie ne correspond pas tout à fait aux canons de beauté en vigueur à Kyoto (Gong Li, dans ce rôle de tigresse indomptable, tu es splendide !) Tout à la contemplation de cette esthétique de la perversité, je me remémorais alors les émouvants souvenirs d'INTIMATE CONFESSIONS OF A CHINESE COURTESAN, désinvolture productions HK des années 70 et, comme ici, authentique œuvre de cinéma aux vertus romanesques.

philoucicu@hotmail.fr -
Ce qui m'a entraîné à aller voir ce film au départ c'était uniquement le fait que ce soit Spielberg le producteur(le choix du réalisateur devait donc être parfait),puis en raison secondaire,la ravissante Michelle Yeoh(Ex James Bond Girl dans Tommorow never dies),mais il s'est révelé que j'ai adoré ce film pour plein d'autres raisons.Tout d'abord:les décors,en tout point parfait,clairs,colorés,vivants,...et en restant en même temps asiatiques.Le réalisateur de Chicago,Rob Marshall,a su donné à ce scenario,qui paraît à première vue ennuyeux,de la fluidité,aucune lourdeur,aucune longeur,de la rapidité,de bons angles de caméras,des couleurs vives qui rappellent quand même que ce film est a méricain et qui nous rappellent un peu Le Dernier Samouraï dans sa forme d'ailleurs avec le même acteur chinois principal),et qui nous démontre encore une fois le talent des américains pour raconter les hitoires d'autres peuples et d'autres cultures.On se laisse charmé par l'histoire de la ravissante Zhang Ziyi(Tigres et dragons),histoire d'ailleurs vraie,et qui m' a donné tout de suite envie de lire le livre immédiatemment,livre dont je n'aurai jamais fait attention si le cinéma Hollywoodien n'avait pas donné une allure de grand spectacle à ce conte japonais.

hypercub -
Imaginez : le Japon dans les années 40, les traditions et les coutumes de ce peuple crystalisées au travers des Geishas : couleurs, sensualités, spectables, honneurs et devoirs. Le film mélange très habilement plans fixes et traveling avec variation de focus et de profondeur de champ pour immerger le spectateur dans ces vies décortiquées. Des plans faisant éclater la beauté des geishas tant physiquement (visage) que par ses images liées aux vétements aux couleurs éclatantes. Plongée, contre plongée, le tout en lenteur pour prendre le temps de saisir les moments, ce film est un bijou de photographie et de recherche en prise de vue. Associées à cela, les interprétations sont de haut niveau et nous ne doutons pas un seul instant de la sensualité des personnes, ou bien de leur cruauté. Paradoxalement, ce qui est le plus dérangeant, c'est le fait que le film soit américain et que la VO soit en anglais (malgré quelques paroles en japonais). Cela nuit au film pour s'immerger dans cet univers japonais. Au final, un film fidèle à l'image des geishas : sensuel, beau, sensible, terriblement humain et surtout jamais vulgaire. Un film pur tant par ses sentiments que par sa mise en images.

Sushinette -
SUPERBE ! Je ne comprends pas les mauvaises critiques sur un film pareil...On se laisse completement emporter par la musique, les decors, l'histoire, le jeu des acteurs. 2h30 de veritable Beaute. Je viens de voir ce film aux Etats-Unis, et je trouve que c'est tout simplement une reussite! Bien sur, il ne faut pas chercher là un documentaire fidele sur cette tradition qu'est l'art d'être Geisha...Cote exactitude pure, ce n'est pas tout a fait ca. Mais a la limite, ce n'est meme pas le but du film,alors que les detracteurs insatisfaits aillent acheter un livre sur le sujet si ils deplorent ce point! Je trouve malgre tout que ce film est tout simplement GENIAL, et le fait que les actrices principales ne soient pas japonaises ne ternit en rien la Beaute du film, et je trouve au contraire qu'il faut avoir du cran pour accepter de jouer un role pareil, surtout par rapport aux réactions (comprehensibles) des Japonais, assez conservateurs sur leurs traditions. Une magnifique histoire d'amour qui finit bien sur fond d'Histoire, et bien adaptée, que demander de plus? Un conseil, au lieu d'aller voir des films violents insignifiants ou des navets Hollywoodiens à la sauce "Les Americains sont des bourrins qui dominent le Monde", courez voir ce film, on en a pour son argent!!!!!!

sources

Le mot de Tahheyyât:
Mon prénom Tahheyyât signifie ARTISTE itinérante.
Chiyo et moi avons plus d'un point commun!
Et mon monde est secret, comme le sien!

Ce film est d'une grande beauté et d'une forte intensité dramatique. Ce n'est pas une reconstitution de quoi que ce soit, c'est une rêverie romantique et cruelle.
La cruauté qui y est révélée s'exerce encore dans bien des parties du monde, autrement mais sûrement, insidieusement et pratiquement sans dénonciation!

Il faut souvent beaucoup supporter, jusqu'à l'intolérable, l'insupportable, jouer des coudes pour acquérir une place honorable au soleil.


EXTRAITS DIVERS

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Commentaires
J
tu sais les américains, ils sont partout! partout!<br /> et ils imposent leur (s) modèle (s) qui n'est pas le mien!<br /> pas le mien du tout!<br /> <br /> ainsi va le monde<br /> majorités<br /> minorités...<br /> <br /> puissants et manans
M
C'est avant tout un film américain. Ainsi continue le mythe de Geysha en Occident…
J
quoi qu'il t'arrive<br /> <br /> quoi que tu penses<br /> <br /> je reste AVEC toi
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